Le copyright n'est pas anodin. Mon site est protégé de cette sorte car j'en ai canalisé la totalité du contenu, et Dieu sait qu'il y a beaucoup d'écrits dedans. Tout cela demande du temps, de l'argent (le dépôt de copyright n'est pas gratuit) et une parfaite "créativité" (ou connexion avec ses guides serait le terme plus juste, qui est un travail au quotidien, incalculable). Je l'ai toujours dis: je considère que mon big-boss, c'est là-haut! Tout ce qui m'a été transmis de mes Êtres de lumière, j'en suis la gardienne et j'essaie au maximum de protéger cette sagesse. Je me fiche de ce que font les autres, du moment qu'ils sont dans leur propre chemin, c'est pour cela que je ne suis pas intéressée de connaître ce qu'untel ou untel fait, écrit etc. Si par contre, il me vient l'information d'un plagiat, évidement que je ne fermerai pas les yeux dessus car comme mon guide me l'a si bien appris: "Qui ne dit mot, consent." et non, je ne consens pas.
Aujourd'hui, c'est à Isabelle Hontabat - Parler avec eux d'être épinglée au panneau du plagiat. Certains la connaissent puisque nous étions présentes plusieurs fois sur les mêmes salons (Langon, Tonneins, Bayonne et Agen dernièrement). C'est à la suite du salon d'Agen que le plagiat m'est revenu aux oreilles. Ce n'est pas la première fois que je fais ce constat mais elle avait corrigé d'elle-même précédement (juste une phrase), je lui ai donc laissé l'occasion de rectifier le tir cette fois-encore, bien que l'écrit était plus conséquent. 48h après mon contact, j'ai mis dans ma balance, d'un côté ses paroles, de l'autre, ses actes. Le constat est difficile à défendre: les paroles sont là mais les actes sont pour la plupart absents. Après un ultime avertissement avant d'entreprendre les démarches de procédures, tout a fini par rentrer dans l'ordre. Et même s'il n'y a pas eu d'excuses, peu importe, tout est revenu à la normale, c'est le principal.
Je ne suis pas à l'aise de devoir me rabaisser à ça (les démarches de procédures, c'est un retour à la 3D direct dans la gueule très violent) mais qui tend le bâton pour se faire battre? Il n'y a pas à blâmer, je considère qu'aucune de nous deux n'est bourreau/victime/sauveur, simplement, je peux comprendre que ce ne soit pas amusant de se faire épingler et taper sur les doigts alors qu'on préfèrerait que la personne ferme les yeux mais elle a le retour de ses actes à copier un site sous copyright. Je lui souhaite que ce soit un mal pour un bien, afin qu'elle suive sa propre destinée désormais, non la mienne car le chemin est déjà pris et c'est complet!
A bon entendeur pour celles ou ceux qui seraient tentés de prendre le même raccourci.
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